Tremblay Lucie
Lucie Tremblay
Notes biographiques
Retraitée d’Affaires Mondiales Canada (AMC, auparavant Ministère des Affaires extérieures et du Commerce international), Lucie Tremblay termine sa carrière à titre de Conseillère aux affaires commerciales (agro-alimentaire, ressources naturelles et produits de consommation) à l’ambassade du Canada à Paris (2001-05). À AMC entre 1994 et 2001, elle est successivement agente de commerce, spécialisée dans l’attraction et le service aux investisseurs étrangers à la direction des Investissements, agente responsable des activités de développement des affaires au pupitre du Maghreb et enfin, à la Banque asiatique de développement, auprès de la direction des Institutions financières internationales.
Avant de se joindre à AMC, Lucie a œuvré au gouvernement fédéral auprès de plusieurs agences et ministères dont la Société canadienne d’hypothèques et de logement, Emploi et Immigration, Statistiques Canada, Investissement Canada et Industrie et Commerce.
Elle a également cumulé diverses expériences dans le secteur privé canadien en Côte d’Ivoire à titre de directrice du développement des affaires en Afrique de l’Ouest pour la société de gestion conseil CEGIR (1983-85), et de coordonnatrice du projet des six lycées techniques canadiens à Yaoundé au Cameroun, pour la SOFATI (1987-90).
Née à Price, diplômée d’une maîtrise en Gestion internationale de l’École nationale d’administration publique (ENAP), elle est aussi membre du Groupe de discussion diplomatique à l’Institut des Études internationales Montréal.
Mariée à Jean-Yves Dionne, le couple a trois enfants : Francis (Karine Joncas), Marie-Pascale (Marc-Olivier Desbiens) et Olivier (Véronique Hébert) et six petits-enfants (Daphné, Audrey, Elliot, Arthur, Loïc et Léah).
Diplomates en péril ? suivi de chroniques peu diplomatiques
Éditeur : De l'Apothéose [2021]
Catégorie: Récit vécu, Essai
Diplomates en Péril ? est une synthèse et un essai critique appuyé par une recherche
bibliographique. Le récit explique le service extérieur par son histoire, sa mission, son
fonctionnement, son bilinguisme, son bien-être, son image, ses diverses
problématiques et influences dans une approche très holistique. Les auteurs posent
des questions existentielles qui sous-tendent le renouvellement de cette institution
bien de chez nous et malmenée depuis un quart de siècle.
L’essai est suivi d’un « journal de bord » composé d’expériences personnelles, de
récits savoureux et de chroniques « peu diplomatiques d’un agent, d’une conjointe et
d’une famille se déplaçant sur trois continents durant une période de plus de trente
ans.
Les interrogations des auteurs sur les conséquences de la perte grandissante d’identité
internationale du Canada, l’impact sur sa diplomatie et l’encouragement à la carrière
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